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Communiqué : Un nouveau départ pour Beryl des Prés

  • 16 déc. 2022
  • 2 min de lecture


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Copyright : Elli Birch


Après une dizaine d’années de collaboration, Antoine Ermann a dû se résoudre à laisser partir son cheval de tête : Beryl des Prés (Popstar Lozonais x Djalisco du Guet) qui rejoint les écuries de Karl Schneider en Allemagne.


Ensemble, le couple a progressé du circuit réservé aux chevaux de 7 ans aux CSI 4* en passant par des classements dans plusieurs Grands Prix du Grand National (Macon, Canteleu et Lyon) et CSI 3* (Opglabbeek et Hubside Jumping). Nous gardons en tête également leur participation au championnat d’Europe Jeunes 2022 à Oliva, leur quatrième place des championnats de France Pro 1 au Master Pro de Fontainebleau et leurs récentes victoires à Genève et Valence.


Toute l’équipe lui souhaite une bonne route et beaucoup de bonheur à son nouveau cavalier.


Antoine Ermann : « Après une dizaine d’années passées à nos côtés, Beryl des Prés est vendu et parti rejoindre ses nouveaux propriétaires en Allemagne. Après avoir été acheté à 6 mois par mon père Jean Yves Ermann, Beryl nous a toujours marqué par sa qualité naturelle. Entre autres, il a été champion de France à 3 ans à Equita’Lyon. Quand je l’ai récupéré en début d’année de 7 ans, Beryl était un cheval assez délicat qui m’a appris à être patient. Il m’a permis de participer à de beaux concours et d’obtenir beaucoup de résultats. Il a toujours eu cette envie de faire de son mieux pour nous faire plaisir et c’est ce qui fait de lui un cheval si spécial. Bien-sûr, ça a été une décision difficile mais ces ventes sont une étape indispensable pour pérenniser notre système et préparer la relève. J’en profite pour remercier la famille Bazire d’avoir fait naitre ce champion et pour notre collaboration depuis toutes ces années. Bonne route à toi mon ami ! »


Jean Yves Ermann : « Je suis vraiment reconnaissant envers Beryl pour toutes les émotions qu’il nous a apporté. On a fait un bout de chemin ensemble. Ça a été compliqué au début. Beryl n’a jamais supporté trop de contrainte et il a toujours fallu composer avec ce tempérament délicat. Antoine m’a souvent dit « quand tu descends de Chonchon, tu te grattes la tête » (rires). Ce qui a toujours motivé Antoine, c’était la qualité intrinsèque du cheval. J’ai largement approuvé la décision de le mettre sur le marché. À 11 ans le cheval arrive à maturité et on a estimé que c’était le bon moment. C’est avec ces transferts que l’on fait tourner la boutique… »


Images libres de droit : https://we.tl/t-Sgjtzzut9R




 
 
 

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